Nicolas Ancion : « La culture, c'est les toilettes ; l'art, c'est tout le reste... »
C'est à Liège, dans les coulisses du théâtre de marionnettes Al Botroûle, que Nicolas Ancion voit le jour en 1971 ; c'est dans la Cité Ardente qu'il grandit et découvre la vie et c'est donc tout naturellement à l'Université de Liège qu'il étudie la philologie romane, tente même un bout de troisième cycle avant de s'envoler voir le reste du monde.
 
À vingt-quatre ans, il publie un premier roman, Ciel bleu trop bleu, à mi-chemin entre la prose et la poésie, bientôt suivi par de nombreux autres livres, pour les adultes comme pour la jeunesse, dont Quatrième étage, couronné par le Prix des Lycéens ou Nous sommes tous des playmobiles, recueil de nouvelles traduit en tchèque et en néerlandais qui a reçu tout récemment le prix Franz De Wever décerné par l'Académie royale de Belgique. Nicolas a posé ses valises dans un petit village de l'Aude, d'où il consacre désormais tout son temps à l'écriture.
 
Retrouver ses facultés
Il est l'auteur de Retrouver ses facultés, publié en 2009 aux Editions de l'Université de Liège, dans lequel il jette un regard décalé, inédit et hilarant sur la vie à l'université.
 
 
 
 
 

Propos recueillis par Claudine Purnelle