C’est l’histoire de Diane, la trentaine, qui tient un café littéraire avec son ami homosexuel, Félix, dans le quartier du Marais à Paris. Suite à une tragédie personnelle, celui-ci est son dernier rempart face à la douleur qui l’étreint depuis un an. Il essaie de l’aider à surmonter le drame qu’elle vit. Au bout d’un an de descente aux enfers, elle décide de partir au fin fond de l’Irlande pour avoir la paix.
C’est un livre sur le deuil et la reconstruction, sur l’amitié aussi. Il est plein d’émotion, très bien écrit.
Il a été apprécié par toutes mes collègues à qui je l’ai prêté. Il se lit d’une traite ou presque. Dans mon cas, ce fut presque car, arrivée à la page 64, le livre passait directement à la page 90 et quelques. On était un samedi soir et j’ai dû attendre le surlendemain pour aller l’échanger.
Je viens d’acheter la suite qui vient de sortir : Ne t’inquiète pas. La vie est facile.
Isabelle Lheureux
Agnès Martin-Lugand, Les gens heureux lisent et boivent du café, Pocket, 2014
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