En juillet 2008, Jacques Izoard décédait inopinément, deux ans seulement après la publication des deux premiers tomes de ses œuvres poétiques. La publication du troisième et dernier tome de ce gigantesque ensemble de textes, qui offre à l’histoire de nos lettres et aux amateurs de la plus haute poésie l’achèvement d’une œuvre monumentale et attachante, nous donne l’occasion de montrer et décrire l'homme, l'animateur, le découvreur, le poète qui compte parmi les plus grands de Belgique et du monde francophone.
L’université de Liège s’est intéressée depuis longtemps à cette œuvre. Elle continue à le faire en étant partie prenante de projets et de réalisations qui lui sont liées : l’actualité signale d’ores et déjà l’acquisition et la conservation du fonds de ses archives par la ville de Liège, ou la création d’une fondation « Maison Jacques Izoard », qui ambitionne de défendre sa mémoire et son œuvre, mais aussi de perpétuer son engagement en faveur des lettres, liégeoises, wallonnes, francophones et internationales.
Définitivement, Izoard n’est pas mort. Il vit à travers son œuvre, à travers l’esprit et l’action qu’il a légués aux Liégeois, à ses amis.
Lire Jacques Izoard Les mots d'Izoard La constellation Izoard Les archives de Jacques Izoard
|
 |
Le numéro 19, hiver 2008-2009, de la revue Le Fram était tout particulièrement dédié à Jacques Izoard, qui venait de disparaître. On y retrouve vingt-six inédits et un texte de Françoise Wuilmart rédigé après l'enterrement. Le Fram avait publié déjà des inédits de Jacques Izoard dans son numéro 7 (épuisé). La revue a désormais cessé ses activités, mais il reste des exemplaires du volume 19, que l'on peut obtenir grâcieusement auprès de Karel Logist.
Télécharger le numéro 7
Télécharger le numéro 19
